En vogue depuis ces dernières années, le crowdfunding s’étend depuis peu au secteur de l’immobilier. Aujourd’hui, le crowdfunding immobilier concerne plus de 174 millions d’euros collectés (presque 180 millions) ! Mais quels sont les rendements réels de tels investissements ? Quels sont les risques également ? Assurgérance s’intéresse de près à cette nouvelle tendance et vous en livre les secrets.

En 2017, la technologie est déjà partout. Qu’en sera-t-il en 2030 ? On ne peut qu’imaginer notre environnement encore plus dépendant de l’informatique, de nos téléphones portables, de la réalité virtuelle, etc. Le secteur de l’immobilier et de la visite immobilière est actuellement en pleine mutation digitale. Dans le futur, cette mutation sera terminée et il existera de nombreuses nouvelles évolutions. Assurgérance vous fait voyager dans le temps et imagine de quoi le futur de l’immobilier sera fait !

Téléphones connectés, voitures connectées, montres connectées… alors pourquoi pas un bâtiment connecté ? Aujourd’hui, l’émergence d’immeubles et de maisons « intelligentes » apparaît comme une évolution logique des choses. En effet, plus de 68% des français possèdent un smartphone et presque 50% des français possèdent une tablette. Ces derniers sont des outils indispensables à la digitalisation de notre environnement. Ils ouvrent donc les nouvelles perspectives des bâtiments connectés.

Avec la montée en puissance du web dans le secteur de l’immobilier, de plus en plus de site de vente de biens de particulier à particulier fleurissent sur la toile. Les vendeurs et les acheteurs sont donc capables de se substituer aux agences immobilières. Du moins, en théorie. Car il existe certains avantages non négligeables à faire appel à une agence immobilière. Assurgérance vous en dit plus ! 

Décidemment, le web est partout. Après le secteur des banques, du prêt à porter ou encore de l’immobilier, le digital s’insère dans toutes les professions. Le monde du courtage n’échappe pas à la règle. Le secteur se diversifie et s’agrandit au risque de porter préjudice aux acteurs. En effet, le risque de voir disparaître les intermédiaires de transaction n’est pas loin… Certains ont décidé de rebondir et de faire de cette menace une force pour devenir courtier en ligne !